Paule Zellitch, présidente de cette organisation singulière dans l’univers catholique, revient sur les évolutions et sur les défis que la Conférence catholique des baptisé-e-s francophones entend relever
Zellitch. « Attention, je peux parler de tout ! Mais c’est parce que je suis une passionnée… et notamment du Christ », précise la présidente de la Conférence catholique des baptisé-e-s francophones (CCBF) dans un grand éclat de rire.
Ancienne cheffe d’entreprise, Paule Zellitch a fait « une rencontre intérieure, surpuissante avec le Christ » alors qu’elle s’approchait de la cinquantaine. « Je suis une convertie, à 100 %. Le Christ est le centre de ma vie. On s’est rencontrés, on ne se lâche plus », confie-t-elle. Après des études de théologie, sa « seconde vie » l’amène à travailler six ans en responsabilité au Service national des vocations à la Conférence des évêques de France (CEF). Aux débuts des années 2010, elle suit avec un intérêt grandissant la naissance puis les travaux de la Conférence catholique des baptisé-e-s francophones jusqu’à entrer au conseil d’administration puis au bureau de cette association.
Interview Sophie Lebrun
Publié le 08/02/2021 à 13h06 I Mis à jour le 08/02/2021 à 14h50