À l’initiative de Siloé, suite à la sortie du dernier livre de C Pedotti et Anne Soupa « Espérez… », C Pedotti ferait une conférence à Nantes. Date inconnue pour le moment.
Projet d’un spectacle « Et si Dieu était laïc ? » avec Marie-Christine Bernard, théologienne
http://www.mariechristinebernard.org/spectacles/
suivi le lendemain d’une journée de réflexion sur le thème à affiner « A-t-on besoin de religions aujourd’hui ? ». Date possible en Avril.
Autres propositions :
Réflexion autour du livre de Bruno Mory « Pour un christianisme sans religion ». Livre que certains d’entre nous ont lu et apprécié.
Agathe évoque cette parole : « La Bonne Nouvelle est annoncée aux pauvres » à partir de laquelle des théologiens et théologiennes du centre Sèvres travaillent en se mettant à l’écoute des personnes en grande précarité pour qui le compagnonnage avec Jésus est important. Je peux citer : François ODINET qui a écrit : « Vivants grâce à Dieu : comment les personnes très pauvres écoutent-elles la Parole de Dieu ». Frédéric-Marie LE MEHAUTE qui a écrit : « Révélé aux tout petits » Une théologie à l’écoute des plus pauvres. Des personnes à faire venir éventuellement.
Jean-Luc Ewald s’interroge sur l’attitude que nous pouvons avoir à la suite de la lenteur des perspectives synodales : le chemin synodal a commencé en octobre 2021 et se terminera d’ici fin 2024. Des besoins pressants ont déjà été exprimés et il est difficile de se dire qu’il va falloir attendre aussi longtemps pour que des décisions soient prises.
La charte de la CCBF du 31 juillet 2013 nous situe comme « acteurs au présent et bâtisseurs d’avenir », ce qui a été renforcé par la lettre du pape François à tous les baptisés en 2018. Cela suppose d’être à la fois producteurs de sens et d’inventer l’Eglise de demain. Devons-nous attendre les décisions qui seront prises à l’issue du Synode ou déjà être acteurs de changements concrets ?
Le chemin étant encore long, nous pourrions vivre un temps spirituel pour nous aider à revisiter la mission de CCB44, relire le chemin déjà parcouru et nous ouvrir à de nouvelles intentions pour agir en interaction avec l’Église là où nous sommes. Ce pourrait être un axe pour le carême par ex…. Rencontre à travailler et à proposer lors des prochains mois.